Entretien avec Aïssa Deghilage et Pierre Audebert.
Rien ne prépare tout à fait à la rencontre avec une star internationale aussi unique que Hiam Abbass. Cette comédienne tout terrain qui s’est imposée en ramenant le public populaire au cinéma d’auteur par sa force de conviction est absolument magnétique ! Entière aussi, et son franc-parler égale le courage de ses rôles. Elle était à l’affiche de deux films présentés au festival d’Alès, Corps étranger et A mon âge je me cache encore pour fumer ( en salles le 26 avril ), deux occasions d’y mettre son corps en danger… Et durant le flottement de nos questions les plus naïves – que ce soit pour évoquer le retour à l’Ordre moral ou la spécificité d’un point de vue féminin -, on peut même se demander qui ausculte qui, alors qu’on perd pieds dans son regard vertigineux… Entretien mouvementé et à fleur de peau avec une artiste passionnée et définitivement militante, mais aussi curieuse du monde que peut l’être le septième art.
Vous avez commencé votre carrière cinématographique à l’âge de 35 ans après de nombreuses années au théâtre. Vous préfériez la scène ou simplement le cinéma ne s’était pas présenté avant ?
Non, ce n’était vraiment pas un choix, c’est que le cinéma ne se présentait pas avant puisque je vivais à l’époque à Jérusalem, ce qui fait que le premier film qui s’est fait en Palestine par un palestinien, c’était Noces en Galilée, qui s’est tourné en 1985 ou 86 où je faisais une petite apparition, une silhouette loin là-bas, presque rien du tout, mais c’était surtout la première expérience que j’ai eu devant une caméra. Je travaillais un peu dans la production à l’époque. Michel ( Khleifi ) avait appelé des gens qui travaillaient dans le théâtre et dans le domaine de l’art pour l’aider à porter son film. Après, j’ai fait encore un court-métrage, un moyen-métrage d’un palestinien qui revenait de ses longues études aux États-Unis et qui voulait faire son film en Palestine, où j’avais un rôle un peu plus important et le goût du cinéma a vraiment commencé à me démanger un petit peu. Donc j’étais partie parce que je voulais trouver autre chose, rencontrer le cinéma notamment. Effectivement j’avais vingt-sept ans et à partir de là, j’ai commencé à fréquenter le monde du cinéma. J’ai mis un peu de temps parce qu’il a fallu que je me fasse connaître, que les gens croient en moi, que je maîtrise la langue française que je ne connaissais pas du tout à l’époque. Je suis arrivée en France et pendant deux ans, je parlais anglais jusqu’à ce que je commence à faire des petites phrases. Voilà comment ça c’est passé.
Vous avez incarné beaucoup de rôles emblématiques de femmes qui se révélaient à elles-mêmes. Je pense notamment à Satin rouge ou encore aux Citronniers dans lequel une femme s’éveille à la lutte. Dans deux films qui sont présentés cette année à Itinérances, Corps étranger et A mon âge je me cache encore pour fumer, vous jouez des femmes qui ont encore passé un cran supplémentaire dans l’engagement. C’est un choix ou ça s’est fait naturellement, à force de jouer dans des films autour des droits des femmes ?
Vous savez, je ne crois pas que ce soit un choix mais à la fois, oui c’est un choix. Alors comment ça se fait ? Je ne sais pas exactement. Effectivement ce qui se passe, c’est qu’en fait on m’appelle pour un rôle ou moi je lis un scénario et ensuite, je vois si je peux contribuer à ce rôle ou s’il peut me parler, s’il peut tirer des choses de moi. On est fait de ce qu’on est fait… On ne peut pas se cacher, je suis quelqu’un de très sensible à ce qui se passe dans le monde, à la question de la femme, à la question des opprimés en général, que ce soit les oppressions politiques, sexistes ou autres et je sens que dans ces rôles là, j’ai une responsabilité quelque part. La connexion avec les rôles se fait déjà avec le rôle lui-même, avec l’histoire en général, par la rencontre avec la personne derrière, la réalisatrice ou le réalisateur. J’ai aussi accumulé plusieurs rôles comme ça parce que le hasard a fait qu’on ne m’a proposé que des rôles forts, des rôles qui sont complexes, qui donnent une autre identité à des gens dont on n’entend parler qu’en ombre, comme je le disais tout à l’heure au débat. Et le fait qu’on s’appuie plus sur cette personne et son intimité, sa complexité et… ses doutes, ses amours, ses désirs, ses rêves, fait que ce sont des rôles qui viennent d’ailleurs. Qui viennent d’ailleurs parce que moi-même je viens d’ailleurs. Donc ce sont des rôles qui correspondent à mon itinérance quelque part ( sourire malicieux ). Mais si je ne me trouve pas dans un rôle, je le refuse, ça se fait facilement. Pour répondre franchement à votre question, il me faut de la chair pour pouvoir travailler !
Côté chair, vous avez été servie par Corps étranger qui est un film très sensuel. Satin rouge de la même Raja Amari l’était déjà énormément, mais là en plus, vous êtes en présence de deux autres comédiens dans une relation charnelle, pétrie d’ambiguïté et de plein d’autres choses. Il y a une scène où votre personnage, madame Bertaud, a un rapport sexuel dans un couloir. C’est le moment où elle quitte le deuil ?
Je crois que c’est quelque chose qui chez elle est un produit du mental. Ça veut dire que la rupture avec l’amour ou avec le corps charnel du partenaire de sa vie fait que la présence de cette jeune fille chez elle, d’un seul coup, la jeunesse peut-être de cette fille, ce qu’elle lui apporte de son propre passé à elle, se voir en miroir en elle, la voir aussi avec ce jeune homme, je crois qu’effectivement, tout ça a réveillé quelque chose chez elle. Mais ce n’est pas une femme, dans sa complexité, dans la situation sociale dans laquelle elle joue, qui était capable d’aller vers ça. Donc elle l’imagine, elle le désire, c’est un phantasme en fait. Elle le vit un peu de manière virtuelle. Mais effectivement, ces changements dans sa vie font qu’à un moment il y a un déclic vers ce qu’elle a peut-être perdu. Surtout qu’il y a cette scène du hammam où elle lui dit que ce qui lui manque le plus, ce n’est pas lui mais qu’il la touche. Donc en effet, il y a quelque chose de l’ordre du manque en elle. Quand elle est seule et qu’elle rêve un peu, elle se voit peut-être avoir une relation autre pour justement mettre fin au deuil qu’elle vit avec la perte de son mari.
Pour rester dans la chair et dans le cadre des hammams, dans le film de Rayhana, est-ce qu’il y avait une nécessité de dénuder les corps, un peu pour les laver de cette impureté qui leur est attribuée, et en même temps pour mieux ouvrir les cœurs des spectateurs ?
Je crois que dans un hammam, on est obligée de se dénuder, on y va pour se laver !
Mais on pourrait y situer l’action mais ne pas la filmer nécessairement. Là on sent une volonté de l’afficher dans tout son naturalisme.
Mais moi je suis sure que vous ne diriez pas la même chose si vous aviez vu un film où la nudité dans un hammam est totalement cachée. Il y a quelque chose d’authentique dans la nudité du hammam. Après, dans le sens de ce film, dans le propos, ça prend à mon avis plus d’importance justement parce que cette nudité, pour moi elle n’est pas gratuite, elle est réelle. Elle est réelle parce qu’elle est authentique dans cette situation là. Mais dans le propos, dans ce que ce film dénonce, je pense qu’elle prend doublement un sens plus profond et autre que ce qu’elle est vraiment en réalité.
En tant qu’artiste internationale et en tant que femme, que pensez-vous de cette tendance qui dépasse largement le clivage religieux ou entre les sexes, de ce tabou qui est entrain de revenir, cette peur du corps, de la nudité qu’on voit de plus en plus dans les médias, dans le cinéma… ?
Moi je n’ai pas d’avis analytique sur la situation si vous voulez. Après c’est un corps, de travail. Ce corps de travail n’appartient qu’à moi et à l’actrice que je suis et à partir de là, personne ne peut me dire ce qui se fait et ce qui ne se fait pas dans le jeu. Pour moi, c’est un corps qui se met au service de l’art et si, à certains moments la religion ou les traditions ne vont pas avec l’art, avec l’importance de l’art, la liberté de l’artiste dans son travail, ( tranchante ) y a un problème !
Est-ce que quand même c’est plus transgressif aujourd’hui que quand Farid Boughedir tournait par exemple Halfaouine l’enfant des terrasses ? Le contexte a changé. Est-ce qu’aujourd’hui la réception du film au Maghreb…
( coupant la parole ) Je crois que c’est pas une question de nudité en fait et ce n’est pas une question d’exposer en corps et en chair. Pour chaque film, la question de la nudité est à étudier dans la nécessité de ce qu’on raconte et comme je le disais tout à l’heure, si on avait fait un film où toutes les femmes étaient cachées, je crois que vous seriez le premier à dire que ça n’existe pas ! Oui, il y a un moment où il faut transgresser tout ça, il faut juste rester authentique pour créer la réalité artistique du projet. Donc c’est l’art qui impose la réalité et l’authenticité de ce qu’on raconte. Si on ne le fait pas dans ce sens là, ça veut dire qu’on est rattrapés, nous les artistes, par quelque chose qui est déjà difficile à vivre dans la réalité. Donc si la seule plate-forme de liberté qu’il faut prendre pour pouvoir faire ce qu’on a envie de faire, c’est être vraiment vraie par rapport à ce qu’on dit, c’est le chemin à faire.
Vous jouez dans ce film avec deux actrices qui ont été popularisées par les films de Nadir Moknèche, qui sont Biyouna et Nadia Kaci, qui ont toutes deux incarnées par le passé des femmes assez libérées. Ici, une porte le voile parce qu’un de ses élèves l’a menacée, l’autre – le personnage de Biyouna, presque à contre-emploi – arrive cachée. Est-ce qu’il y avait une volonté de la réalisatrice de les utiliser dans ces rôles là par rapport à ce qu’elles avaient joué auparavant ?
Ça c’est vraiment une question à poser à Rayhana. Je ne peux pas répondre puisque ce n’est pas un choix que moi j’ai fait. Ça m’a fait plaisir de travailler avec ces deux comédiennes, chacune à sa façon représente pour moi aussi une icône du cinéma algérien.
Si on situait la même histoire dans l’Algérie d’aujourd’hui ( le film se déroule au début des années 90 sur fond d’attentats du FIS ), est-ce qu’à votre avis, il y aurait plus de femmes comme celle qu’incarne Zaïa, qui choisissent de porter le voile ?
Je ne connais pas la réalité algérienne de l’intérieur. Je la connais exactement comme vous en fait, parce que je lis, parce que j’ai des amis, parce qu’on en parle… Je crois que l’Algérie des années 90 a changé. Que beaucoup d’algériens, beaucoup de femmes algériennes, ont payé un prix très très cher, familial, de sang, de pertes et qu’aujourd’hui l’éveil à la religion se fait différemment. Soit on est croyants, on porte le voile parce qu’on le choisit, soit on le choisit parce que c’est la société et la tradition qui le demandent. Ça dépend d’où on vient, si on vit en ville ou à la campagne, si l’endroit qu’on fréquente est petit ou grand, si on peut avoir une liberté de choix ou pas. Je réponds, comme je peux répondre pour la Palestine d’ailleurs… Je vois aujourd’hui qu’il y a quand même plus de recours à la religion. Chez les jeunes, en Palestine, plus qu’avant. Mais chaque réalité, chaque pays a sa politique, son évolution dans sa propre histoire. Les causes en Palestine ne sont pas les mêmes, du coup sur l’Algérie je ne peux malheureusement pas vous répondre.
Est-ce que le personnage que vous interprétez sait pourquoi Samia éprouve le besoin de téléphoner pour indiquer que Myriem est cachée au hammam ?
Aussi simplement que c’est dit dans le film ! Samia est une rêveuse. Elle plane, elle est un peu simple, donc elle n’a pas nécessairement une pensée. Elle rêve d’un avenir avec cet homme. Vous avez vu, tout ce qu’elle raconte, tout ce qu’elle dit, c’est un peu… C’est comme quand les enfants rêvent d’être princesses ! Par rapport à ça, elle n’a pas calculé. Elle voit Myriem dans le hammam et comme elle pense à se marier avec le mec ( le frère de Samia ), elle pense juste à cette raison là. Et d’ailleurs, elle se fait complètement fracasser au moment où elle comprend qu’il ne lui a pas demandé de lui téléphoner parce qu’il a envie d’elle, mais parce qu’il cherchait à tuer sa sœur. C’est à ce moment là qu’elle s’éveille. Mise face au danger, elle prend conscience de ses responsabilités et prend la décision de proposer la sortie de toutes les femmes enceintes pour tromper les hommes à l’extérieur.
Dans le prologue qui est particulièrement fort, est-ce que c’est bien votre personnage ou alors est-ce que c’est une femme algérienne en général qui se fait violer par son mari en lieu et place ( elle intervient aussitôt ) d’un rapport conjugal ?
Non, c’est moi !
C’était écrit tel quel dans le film ?
Absolument, oui !
Est-ce que le proverbe que vous utilisez à un moment « Le serpent qui vieillit… ( je cherche ) se fait enculer par la grenouille »… non… c’est ça ? ( rire )
( elle éclate de rire ) Oui, c’est ça…
( rires ) Est ce que c’est presque finalement une traduction de…
( elle termine la phrase ) … de sa situation ! Oui je crois, parce que cette femme qu’on suit depuis le début, on a compris ce qu’elle subit quotidiennement. Donc à partir de ce moment là, le hammam devient encore un terrain de liberté pour elle, parce qu’elle peut exister dedans. Elle peut se laver de cette honte quelque part et d’ailleurs elle arrive dans une frénésie, elle enlève ses habits… Elle est vraiment dégoûtée par cette situation sauf que la journée ne se passera pas comme elle voudrait, car il y a le danger à l’extérieur qui arrive à l’intérieur, l’arrivée de Myriem qui bouscule complètement sa journée qui devient un cauchemar. Je ne crois pas que ce serait une femme aussi aigrie qu’elle le paraît dans le film, s’il n’y avait pas cette journée dans sa vie. Mais à ce moment là,… on l’attrape, (déterminée ) oui !
Est-ce que votre passage derrière la caméra a modifié votre façon d’appréhender les personnages ou de les interpréter ?
Oui et non… Ça dépend des films. Oui et non, oui et non ! ! ( elle éclate de rire ) Ça dépend aussi de la réception et de la communication, de la relation que je tisse avec chaque réalisateur. Mais en tout cas… mon passage derrière la caméra m’a fait juste comprendre que des fois, les comédiens ne doivent pas se poser des questions sur la mise en scène. Il faut la suivre.
Est-ce que le fait que vous soyez actrice vous facilite la direction d’acteurs ?
Ce n’est pas moi qui ai dirigé les actrices dans ce film, c’est Rayhana la réalisatrice. Mais moi j’ai vraiment ( elle appuie ) UN AMOUR pour la direction d’acteurs. J’ai une fascination pour ça ! Est-ce que ça vient du fait que je sois actrice ou pas… ? Je ne peux pas vous répondre, franchement je ne sais pas. J’adore travailler avec les acteurs, j’adore piocher et farfouiller à l’intérieur de l’être humain pour pouvoir sortir des émotions qu’il ne connaît pas. Comme j’aime le faire moi-même… Quand je suis actrice, je vais piocher dans des trucs que je vais essayer de travailler. Des choses… qui m’appartiennent. De ce qui m’appartient, je prends ce qui peut servir le personnage et maintenant que j’y pense peut-être… le passage derrière la caméram’a permis une certaine autonomie. Peut-être que je suis un peu moins chiante avec les réalisateurs… ( rires )
Comment ça se gère au niveau des énergies avec des actrices ayant des personnalités aussi fortes comme Biyouna, Nadia Kaci ou vous-même, c’est une auto-stimulation ?
Bah, chacune a sa façon de travailler. Franchement, on n’appartient pas du tout à la même école. Chacune a sa relation avec la réalisatrice et à partir de la direction d’acteurs, Rayhana avait une manière de gérer chacune à sa façon, en fonction de ce qu’elle a besoin, de comment elle voit les choses, de ce qu’elle doit dire, des mots qu’elle doit utiliser pour sortir des choses d’elle…
C’est la patronne invisible du harem ?
( rire ) Ben oui, c’est la patronne tout court !
Vous aviez déjà tourné avec Steven Spielberg pour Munich, récemment pour Ridley Scott ( Exodus : gods and kings ) et vous venez de finir le nouveau Blade runner. Comment s’est passée cette expérience américaine ?
Ben très bien ! Très bien. Voilà…
L’infrastructure des studios, tout ça n’est pas trop…
Vous savez quand on est acteur, ce n’est pas vraiment à ça qu’on pense en fait. C’est vraiment une rencontre avec une figure du cinéma très importante. Mais les conditions sont complètement différentes, les tournages sont différents et même, eux-mêmes étant différents chacun de l’autre, chaque expérience est unique et à part.
En tournant avec Villeneuve et Spielberg, vous aviez la volonté de changer de registre ?
Pas du tout… D’ailleurs depuis que j’ai tourné avec Spielberg, j’ai fait beaucoup de films, de petits films dans des pays arabes, avec les français, des nationalités différentes, des français d’origine arabe, donc non, absolument pas. Juste à ce moment là, on me propose un rôle et je l’accepte. Je le fais et je reviens à ma vie. Et voilà… J’ai pas le rêve américain moi !
Il y a un personnage ou un type de rôle que vous aimeriez interpréter ?
Dans ma carrière… ( elle réfléchit ) Je n’ai pas nécessairement un désir de folie de faire quelque chose. J’aimerais juste continuer à travailler, à défendre des rôles complexes, qui ont un sens dans la vie… et qui donnent du sens au spectateur aussi.
Pour conclure, un cinéaste avec lequel vous aimeriez tourner ?
( sourire ) Il est mort… ( suspense. On insiste… Sourire et regard immense ) Pasolini.
La comédienne sera la marraine du festival de Saint Denis, pour la douzième édition du Panorama des Cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient, du 25 avril au 14 mai prochains. Elle y présentera quatre titres de sa filmographie :
– À mon âge je me cache encore pour fumer de Rayhana, en avant-première, en ouverture du PCMMO ( 25/04, 20h à L’Écran ),
– Corps étranger, film inédit de la réalisatrice tunisienne Raja Amari ( 21/04, 21h & 2/05 à 20h à l’IMA ),
– Clichés, court métrage de Nadine Naous ( projeté lors de la Table-ronde Femmes & cinéma le 27/04 ),
– Héritage , de Hiam Abbass, en présence de Lina Soualem ( 29/04 à 18h ).
Elle sera également présente lors de la table ronde « Femme et cinéma » le 27 avril.
A mon âge, je me cache encore pour fumer (2016) de Rayhana, avec Hiam Abbass, Biyouna, Nadia Kaci… en salles le 26 avril . Bande annonce sur Allociné.
Entretien réalisé pour Culturopoing et Radio Escapades. Prise de son : Aïssa Deghilage. Moyens techniques : Radio Escapades. Remerciements Festival Itinérances, en particulier Julie Plantier, Julie Uski-Billieux et Eric Antolin, ainsi que Patrice Terraz pour les portraits de Hiam Abbass.
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