Concours ESC Editions/Culturopoing : « Blue Holocaust » de Joe D’Amato
Lorsque sa fiancée meurt des suites d’un rituel vaudou, le monde de Franck s’écroule. Refusant d’y croire, il se sert de s... Lire la suite
Lorsque sa fiancée meurt des suites d’un rituel vaudou, le monde de Franck s’écroule. Refusant d’y croire, il se sert de s... Lire la suite
Premier long métrage officiel de Joe D’Amato, La mort a souri à l’assassin est aussi le seul qu’il signe de son vrai nom, Aristide Massacces... Lire la suite
Tourné dans la foulée de Emanuelle en Amérique et Emanuelle autour du monde en 1977, Emanuelle et les derniers cannibales s’affranchit -en p... Lire la suite
Pauvre Françoise! Amoureuse d’un pervers narcissique dans toute sa splendeur (ou son horreur), elle n’a cessé de subir humilia... Lire la suite
Toujours en pleine période République Dominicaine, Joe D’amato enchaîne des films, avec les mêmes actrices et acteurs, de genre soit érotiqu... Lire la suite
Bien avant l’hypocrite A Serbian Film, Joe D’Amato s’impose comme le cinéaste de toutes les audaces avec son absence totale de scrupules et ... Lire la suite
Joe D’Amato endosse un peu le rôle de Steven Spielberg italien, pour sa tendance à toucher tous les genres, ainsi que celui du David Cronenb... Lire la suite