Patrick Cabouat – « Les Loulous »
Le Chat qui Fume exhume régulièrement des raretés, particulièrement dans le cinéma français. En voici bel et bien une, tombée totalement dan... Lire la suite
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Faut-il sauver Bruno Mattei ? Sans en faire une affaire, sans jouer la carte très en vogue de la surinterprétation, ou de la redécouverte de... Lire la suite
L’année 1963 marque un tournant dans la carrière de Mario Bava. Jusqu’alors exécutant pour les studios (La Ruée des Vikings, relecture... Lire la suite
Le cinéma de genre italien charrie avec lui toute une tradition de relectures décomplexées (voire de plagiats purs et simples) de succès int... Lire la suite
« Par la folie, une œuvre qui a l’air de s’engloutir dans le monde , d’y révéler son non-sens, et de s’y transfigurer sous les seuls traits ... Lire la suite
Au sein d’une année 1975 riche en propositions françaises « genrées » marquantes telles que Le Vieux Fusil de Robert Enrico ou Dupont Lajoie... Lire la suite
Réalisateur oublié, remis en lumière par Le Chat qui Fume en 2019, Claude Mulot a navigué entre cinéma traditionnel et pornographique de la ... Lire la suite
Certaines carrières laissent perplexes. Pourtant, à y bien réfléchir, la filmographie de Christian Gion semble bien homogène dans sa pelleté... Lire la suite
Je suis vivant (La courte nuit des poupées de verre en italien) le chef d’œuvre d’Aldo Lado a beau être régulièrement qualifié de giallo, il... Lire la suite
« Fulci » rime et rimera toujours avec « zombie »… pour l’éternité. Et pourtant cette exploration du cimetière pourrissant de l’... Lire la suite
Trois ans après Maniac, William Lustig continuait d’explorer la violence sévissant dans les rues de New York, sa ville natale. S’il change d... Lire la suite
Si l’on en croit bon nombre de films d’Ozploitation, l’Australie comprend son joli lot de dégénérés buveurs de bières, tueurs, violeur... Lire la suite
Frédéric Lansac, peintre renommé, tombe éperdument amoureux de Anne, fine fleur à la beauté fragile et incandescente. Lors d’un accident pro... Lire la suite
Par quel prisme analyser une telle aberration filmique, plaisir coupable aussi jouissif que fondamentalement idiot. Il n’est en aucun ... Lire la suite
J’ai failli mettre fin à ma carrière en 1987 après avoir vu « La revanche des mortes-vivantes. Ce film enterre ma trilogie des morts-v... Lire la suite
ll est des films qu’on apprécie pour leur inventivité, leur singularité, l’étonnement constant qu’ils procurent et d’autres pour leur ... Lire la suite
Comme on peut sans douter, Come cani arrabbiati (1976) de Mario Imperoli ne partage pas avec le Cani arrabbiati (Rabid Dogs, 1974) de Mario ... Lire la suite
Dès les premières secondes, on reconnaît la patte d’Hélène Cattet et Bruno Forzani. Le montage haché à grand coup d’inserts comme un enchaîn... Lire la suite
Inspiré de l’une des nouvelles de son Livre de Sang, ce troisième long métrage de Clive Barker après Hellraiser et Nightbreed met en scène l... Lire la suite
En 1974, le petit âge d’or du giallo commence à prendre fin, supplanté par l’explosion inopiné des polars urbains violents et ex... Lire la suite
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