Après être revenu de manière globale sur la dixième édition du Festival Lumière dans une première partie, nous souhaitions dans un second temps focaliser l’attention sur un cinéaste qui nous est particulièrement cher, dont la venue à Lyon constituait à notre avis la plus belle promesse de la manifestation. Un invité parfaitement en phase avec l’actualité puisqu’il était un mois plus tôt à peine, primé à la Mostra de Venise en remportant le Lion d’or, pour sa dernière réalisation, Roma. Il s’agit du cinéaste mexicain Alfonso Cuarón, qui s’il n’en était pas à son premier passage dans la ville natale du cinéma, se voyait cette fois-ci consacrer une rétrospective. Six de ses huit longs-métrages étaient programmés, dont le très rare Sólo con tu pareja et Roma pour trois projections qui faisaient l’objet d’avant-premières très convoitées, le film sortant au mois de décembre et quasi exclusivement sur Netflix (on en parle plus bas).
Gravity (Etats-Unis, Royaume-Uni, 2013)
« Il s’agit à mes yeux de l’une des plus grandes œuvres de science-fiction, réalisée par l’un des plus grands réalisateurs vivants. À son sujet, je ne cesse de citer Le Voyage dans la lune de Georges Méliès, ce que j’ai ressenti en voyant Gravity pour la première fois, est, je crois, proche de ce qu’ont pu ressentir les premiers spectateurs du film de Méliès. Ces deux films ont en commun une recherche de l’émerveillement, à la différence que Cuarón avait le désavantage d’essayer d’émerveiller le public cent ans après, un public qui a vu un nombre incalculable de films donc beaucoup plus difficile à impressionner, il a pourtant réussi à relever ce défi »
C’est en ces termes – que l’on partage sans réserve – que le réalisateur espagnol Juan Antonio Bayona (L’Orphelinat / The Impossible / A Monster Calls) a introduit la projection de Gravity, première séance de notre cycle Cuarón, début d’une parenthèse de vingt-quatre heures environ dans l’univers du cinéaste mexicain. Tout d’abord, il est fascinant de constater que cinq ans après sa sortie en salles, l’expérience cinématographique estomaque toujours autant par sa puissance immersive inouïe, tant sur le plan visuel que sonore. Survival spatial réaliste et épuré sur fond de drame intériorisé, haletant de la première à la dernière image, où le spectacle est autant vecteur de sensations que d’émotions (Sandra Bullock n’a jamais été aussi convaincante), le long-métrage sidère, bouleverse, impressionne d’un même geste. Formaliste virtuose, utilisant la technique et la technologie à dessein intimiste, le cinéaste repousse ici les limites du « possible » tout en rongeant à l’os son cinéma autour d’un enjeu simple (ce qui ne veut pas dire simpliste) et universel : la survie. L’accueil quasi unanimement dithyrambique qui lui a été réservé lors de sa découverte en 2013, suivi d’un succès imposant et d’une moisson de récompenses prestigieuses (il fut le réalisateur mexicain à remporter l’oscar du meilleur réalisateur) résonnait pour Alfonso Cuarón comme l’heure de la consécration, trente ans après ses premiers courts-métrages. Il convient de rappeler que sa carrière pré-Gravity aura été un chemin sinueux entre expériences américaines qui n’auront pas offert pleine satisfaction (De grandes espérances / Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban) et chefs d’œuvres qui n’auront pas vraiment dépassés les cercles cinéphiles (Les fils de l’homme / Y tu mamá también). Reconnaissance tardive pourrait-on dire, qui paradoxalement préfigure, précède, le sacre aux oscars de ses compatriotes et frères de cinéma les années suivantes : Alejandro Iñárritu Gonzales en 2016 (Birdman) et 2017 (The Revenant) puis Guillermo Del Toro en 2018 (La forme de l’eau).
Y tu mamá también (Mexique, 2001)
À regret, n’ayant pu assister à la projection en 35 mm d’Y tu mamá también en début d’après-midi, le revisionnage eut lieu à domicile, sur support vidéo, quelques heures avant la projection tant attendue de Roma, histoire de se replonger au préalable dans le versant mexicain de sa filmographie. Le scénario, primé à la Mostra 2001, nous présente deux jeunes hommes de dix-sept ans, Julio (Gael García Bernal, révélé au grand public un an plus tôt dans Amours Chiennes d’Alejandro Iñárritu Gonzales) et Tenoch (Diego Luna), ainsi qu’une femme plus âgée qu’eux (vingt-huit ans), rencontré lors d’une fête familiale, Luisa (Maribel Verdú, Mercedes dans Le Labyrinthe de Pan de Guillermo Del Toro). Tous les trois s’embarquent dans une virée à travers le pays, en quête d’une plage appelée « La Boca del cielo »… Road-movie teinté d’érotisme, sous forme de chronique irrésistible et irrévérencieuse où l’insouciance libertaire se télescope avec une auscultation passionnante de la société mexicaine avant de bouleverser sans retenue au détour d’un épilogue magistral. Derrière la recherche de plaisirs faussement futiles auxquels aspirent les adolescents, se tisse un récit d’apprentissage progressivement empreint de mélancolie, pendant que la bulle de privilégiés dans laquelle ils ont jusqu’à présent évolué s’entrechoque avec des réalités plus sombres du pays, qui si elles ne semblent les atteindre – de prime abord du moins – sont régulièrement palpables et visibles pour le spectateur. Sur fond de voix-off volontairement en décalage, soit digressive soit complémentaire à l’action, Alfonso Cuarón déploie sa science du plan-séquence virtuose (épaulé par la photographie magnifique de son complice avec qui il collabore depuis les années lycée, le génie de l’image, Emmanuel Lubezki) et affirme l’un des grands axes thématiques qui parcourt son œuvre : la nécessité d’une pulsion de vie permettant de se transcender autant qu’affronter les épreuves de l’existence.
Netflix
Le début de soirée approchant, direction l’Institut Lumière pour l’évènement de la journée (mais aussi de la semaine et du festival ?), l’avant-première de Roma en présence d’Alfonso Cuarón. Salle archi comble, où l’on pouvait distinguer parmi les spectateurs, Javier Bardem, Juan Antonio Bayona, Jean-Pierre Jeunet, Marc Caro ou encore Robin Campillo, pour ne citer qu’eux. Excitation maximale à quelques minutes du début de la séance, et le moment parfait pour poser en quelques lignes un débat que nous semble impliquer son désormais incontournable distributeur, Netflix. Avant même la découverte du film, on pourrait arguer que le Lion d’or reçu par le film, suffit à en faire un bouleversement probable pour le cinéma dans les années à venir. Mondialement distribué par le géant américain de la SVOD, la récompense suprême dans l’un des trois plus grands festivals mondiaux du 7ème art, fait basculer la firme dans une nouvelle dimension. Certes, il y avait eu en 2017, un premier frémissement avec les sélections cannoises en compétition, d’Okja de Bong Jong-ho et de The Meyerowitz Stories de Noah Baumbach, mais d’une part les films étaient repartis bredouilles et d’autre part le festival avait effectué un rétropédalage en 2018, obligeant les films concourant en compétition à une sortie « traditionnelle », réservant à Netflix la case hors compétition. D’ailleurs, il se murmure avec insistance que sans cette dernière règle, Roma, aurait sans doute été sélectionné à Cannes. Ainsi, pour la première fois depuis les années 30, un film consacré à Venise pourrait ne pas sortir en salles et c’est bien là le fond du problème, une nouvelle ère où le grand écran n’est plus une obligation. Soyons honnêtes, à l’heure où nous écrivons, Netflix annonce quelques aménagements dans sa politique : Roma, The Ballad of Buster Scruggs de Joel et Ethan Coen (prix du scénario à la Mostra) et Bird Box de Susanne Bier, bénéficieront de sorties partielles dans certaines villes et certains pays, avant leur mise en ligne. Reste la question française et la fameuse chronologie des médias, qui – brièvement – stipule, qu’une œuvre ne peut être proposée sur un service de vidéo à la demande par abonnement, seulement trente-six mois après son exploitation cinéma. Un délai jugé inacceptable pour le géant américain, qui tient à garantir des exclusivités à ses abonnés, quitte à remettre en cause un modèle largement éprouvé, probablement perfectible mais garant d’une certaine sécurité quant à la salle de cinéma et l’exploitation des films. Ne soyons pas naïfs, il semble difficile, pour ne pas dire impossible, que notre chère patrie puisse résister longtemps à la déferlante Netflix, qui ne cesse d’enrichir son catalogue de prestigieux cinéastes. En plus de ceux précédemment cités, on peut actuellement découvrir les derniers opus de Jeremy Saulnier (Aucun homme ni Dieu) et Paul Greengrass (Un 22 Juillet), puis dans les mois qui viennent ce seront ceux de Steven Soderbergh (The Laundromat) et surtout, Martin Scorsese (The Irishman). En attendant l’issue des négociations annoncées sur un nouvel accord concernant la chronologie des médias en France, on se réserve le droit d’être sceptique sur ces évolutions, tant par les méthodes agressives auxquelles se livre l’entreprise, que leurs potentielles finalités, où la salle obscure serait susceptible devenir un luxe pour un film et non plus une norme, ouvrant un horizon bien incertain… Ces problématiques soulevées, ne cachons pas notre incommensurable joie de faire partie des rares spectateurs français à avoir pu découvrir Roma grand écran, car au risque de paraître conservateurs, il n’y aura pas de meilleur endroit, pas de meilleures conditions pour le visionner !
Roma (Mexique, 2018)
Après nous avoir immergé aux fins fonds de l’espace, Gravity, se concluait par le retour sur terre de son héroïne Ryan (Sandra Bullock), laquelle remontait à la surface du lac dans lequel sa capsule venait d’échouer, avant de regagner la rive à la nage et se relever dans un ultime effort, foulant alors le sol, comme dernière étape d’une renaissance symbolique. De retour sur terre, il en est aussi question à plusieurs niveaux, pour son cinéaste, Alfonso Cuarón. Retour à une échelle budgétaire sensiblement plus modeste, retour surtout dans son pays natal et à sa langue maternelle, l’espagnol. En huit réalisations, Roma, est seulement la troisième tournée au Mexique, dix-ans après Y tu mamá también, vingt-sept ans après son premier long-métrage, Sólo con tu pareja. De la science-fiction au drame autobiographique, il n’y a qu’un pas, le voyage auquel nous sommes cette fois-ci convié, est une plongée dans les souvenirs mêmes du metteur en scène et plus précisément dans son enfance. Titre légèrement trompeur, Roma ne désignant pas la célèbre capitale Italienne mais un quartier résidentiel de Mexico, tout en inspirant une filiation évidente avec le néo-réalisme italien (qui se vérifie dès les premières images) et se doublant d’une anagramme hautement évocatrice : Amor. Tourné dans un somptueux scope N&B 65 mm, on pénètre quelques mois durant dans la classe moyenne du Mexique des années 70 à travers le regard de Cleo (Yalitza Aparicio), une employée de maison d’origine mixtèque (peuple indigène de Mésoamérique), travaillant aux côtés d’Adela (Nancy García García) pour Sofía (Marina de Tavira), une mère de quatre enfants rapidement confrontée à l’absence de son époux…
En façade, Roma constitue à bien des égards un contre-pied à son prédécesseur, Gravity. Le casting se compose majoritairement de non-professionnels, à commencer par Yalizta Aparicio, initialement institutrice dans un village situé au Sud du Mexique, la durée est sensiblement plus longue (2h15 contre 1h30) tout en épousant un rythme délibérément plus lent, la chronique accouche d’enjeux certes multiples mais très souvent intériorisés et partiellement impalpables, à cela s’ajoute l’absence de musique, sans oublier que l’espace jadis infini se substitue ici à un cadre beaucoup plus défini dont on ne sortira que tardivement. Reste que malgré ces changements apparents, Alfonso Cuarón ne déroge en aucune façon à sa vision souveraine de la mise en scène, clé d’un cinéma total, où le travail sophistiqué, méticuleux sur l’image et le son (l’impressionnant sound design du film justifierait presque à lui seul de le voir sur grand écran), parfois aux limites de l’invisible, de l’indicible, devient le moteur permanent de spectacle, de sens et d’émotions. Ici, sa virtuosité formelle et les technologies de pointe dont elle se nourrit, largement éprouvées au cours de ses dernières expériences à l’étranger (Gravity / Les fils de l’homme / Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban) trouve une portée et une puissance inédite, en s’exerçant au service d’une fresque intimiste relatant un quotidien apparemment « ordinaire ». Le réalisateur ne cache pas avoir voulu expérimenter à dessein nouveau, des outils que l’on pense selon lui, à tort, réservés aux grosses productions, invoquant en référence l’usage passionnant de la 3D lorsqu’elle fut utilisée par des auteurs comme Wim Wenders (Pina / Everything Will Be Fine) ou Jean-Luc Godard (Adieu au langage). À lui seul, le simple plan inaugural, qui sert dans le même temps de générique, peut faire office de parfaite illustration à cette approche. Il s’agit d’un gros plan fixe cadrant le carrelage du hall d’entrée d’une résidence (laquelle s’avérera être le théâtre central de l’action) que lave Cleo. À mesure que des seaux d’eau se déversent sur le sol, le reflet de l’eau laisse alors apparaître avec netteté un nouveau cadre à l’intérieur du plan, aux faux airs de surimpression, dévoilant l’architecture des bâtiments, le ciel et en son sein le passage d’un avion. En une fraction de seconde, un plan admirablement délimité mais somme toute « classique », révèle une densité inattendue, graphiquement et symboliquement : le désir d’envol et de liberté émergeant à l’intérieur d’un cadre restreint, avant même la première apparition physique du protagoniste. Cette ouverture peut aussi se lire telle une métaphore du souvenir (processus au cœur de l’élaboration du projet) rejaillissant, resurgissant peu à peu avec précision dans l’esprit du cinéaste pour s’offrir dans l’instant qui suit à son spectateur.
Le souffle et la vérité qui émanent sans cesse de Roma, tiennent en un geste noble et précieux : tendre à transformer des recoins d’intimité en moments de cinéma universels, transcender le supposé infime en le hissant vers une grandeur insoupçonnée. Habitué à cumuler les casquettes de réalisateur, scénariste, monteur voire producteur, Alfonso Cuarón est pour la première fois son propre chef opérateur (sur les conseils même d’Emmanuel Lubezki), enrichissant implicitement l’image (splendeur de chaque seconde) d’une incarnation supplémentaire, en plus du caractère déjà autobiographique du récit. Aux prouesses visuelles « attendues » (compositions minutieuses, mouvements « impossibles », plan-séquence magistraux,…), s’adjoint un regard profondément empathique pour ses protagonistes, refusant tout jugement, semblant toujours à parfaite distance, comme s’il résultait de l’étrange alchimie entre une maturité, un recul acquis avec l’expérience, le temps passé et une forme d’innocence plus propre à l’enfance, prodigieusement intacte. Le cinéaste filme avec la même délicatesse, des gestes de travail à priori anodins rendus captivants (vaisselle, nettoyage de sol,…) que des événements historiques déterminants se déroulant en toile de fond (ébouriffante séquence relatant le tristement célèbre massacre de Corpus Christi où la violente attaque par l’armée d’une manifestation étudiante ayant fait plus d’une centaine de morts) reliant ainsi discrètement la petite histoire à la grande. Dans ces conditions, le parcours de Cleo (et par extension de la famille de Sofía dans son ensemble) parsemé d’épreuves, d’embûches mais aussi d’instants de joie, d’élans de complicité, nous terrasse progressivement par son mélange de pudeur dans l’émotion et de vitalité dans l’action. On notera également la présence récurrente du 7ème art dans le long-métrage (sur petit et grand écran), découvrant des références parfois surprenantes comme la projection dans une salle de cinéma de La Grande Vadrouille au détour d’une séquence a contrario du film de Gérard Oury, assez grave, également la diffusion télé d’un film de John Sturges, Les Naufragés de l’espace, dont les images évoquent immédiatement Gravity avant l’heure.
En rendant hommage à celle qui l’a élevé et éduqué, en mettant en pleine lumière, une femme condamnée à rester dans l’ombre en raison de son statut social, de ses origines et de sa couleur de peau, Alfonso Cuarón double sa déclaration d’amour d’une revanche politique bouleversante et salutaire. Héroïne au sens littéral du terme, dévoilant le moment venu un courage exceptionnel, sublime de bonté et de modestie, pleinement dévouée à son travail, refusant en toutes circonstances de se résigner, Cléo, vient rejoindre les nombreuses figures féminines marquantes qui l’ont précédées dans la filmographie du cinéaste (Luisa dans Y tu mamá también, Kee et Julian dans Les Fils de l’homme, Ryan dans Gravity,…). Portrait de femme(s), témoignage d’une époque, introspection autobiographique, Roma nous éblouit, fascine, émeut dans la plus grande simplicité, contrastant avec son incroyable densité. Magnifique et vertigineux : l’œuvre magistrale d’un géant du cinéma contemporain.
Sólo con tu pareja (Mexique, 1991)
Enchaîner immédiatement – faute de séance unique – sur Sólo con tu pareja, après une œuvre aussi colossale et aboutie que Roma, est presque déstabilisant, du moins inopiné car inévitablement plus mineur. Voici l’histoire de Tomás (Daniel Giménez Cacho) un coureur de jupons, piégé par l’une de ses conquêtes, Silvia (Dobrina Cristeva), qui vient de découvrir qu’il la trompe et décide de lui faire croire qu’il est atteint du sida. Alors qu’il cherche à mettre fin à ses jours, Tomás rencontre Clarisa (Claudia Ramírez), une hôtesse de l’air qui, soupçonnant son amant d’avoir une liaison, veut également se suicider… Plaisante comédie romantique débridée, tournant en dérision les mœurs sexuelles conservatrices promues par le pouvoir mexicain (le titre reprend d’ailleurs un célèbre slogan gouvernemental de l’époque) tout en effleurant des thématiques plus graves telle que la mort, évoquant à plus d’un titre, les premiers films de Pedro Almodovar. Alfonso Cuarón surprend par ses aptitudes dans le registre comique et notamment son sens du rythme, du timing. Déjà conçu en collaboration avec Emmanuel Lubezki, le film laisse entrevoir plusieurs motifs visuels qui prendront davantage d’envergure par la suite de sa carrière comme les vagues et plus largement l’eau. Globalement très maîtrisé formellement, le film peut aussi s’apparenter à un terrain de jeu, à l’image de mouvements de caméra virtuoses testés par bribes ou encore d’une introduction qui ressemble à l’ébauche de celle qui ouvrira dix ans plus tard, Y tu mamá también. Très sympathique et prometteur mais certainement à revoir dans un contexte plus neutre, plus calme pour une appréhension plus juste…
Retrouvez la première partie du compte-rendu :
Festival Lumière 2018 – Première Partie : Bilan, impressions générales
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