Festival du film Politique de Carcassonne (FIFP), deuxième.
Il est toujours émouvant d’assister à la naissance d’un festival : quand on connait l’importance de ce genre de célébrations, aussi bien pour les films que pour le public pour lequel ils assurent un maillage du territoire et une opportunité rare de rencontres, notamment en province, ils sont des évènements nécessaires, et à soutenir.
La première édition est souvent celle de l’émotion, des balbutiements dans l’énergie du nouveau-né. La seconde, le début d’une confirmation : les organisations s’y valident, les intuitions s’affirment. C’est peu dire que celles du Festival International du Film Politique de Carcassonne étaient justes.
Au-delà de l’organisation et de l’accueil, impeccables (vie au cœur de la cité médiévale, passage dans des restaurants régionaux comme l’étourdissant Les Grands Buffets et rencontres systématiques avec le public autour d’un buffet chaque jour), c’est surtout le cœur du projet qui se confirme avec élégance, slalomant entre les critiques que l’on pouvait avoir a priori pour un tel projet sans le connaitre (ie. Un festival outil politicard, noyauté par des enjeux de pouvoir, dont la programmation ne saurait masquer les invitations grand luxe de VIP en ne servant que de prétexte).
Henzo Lefevre, Directeur du Festival (et grand organisateur avec Etienne Garcia, Président) le dit bien :
« Il y avait avant tout la volonté forcenée de ne pas en faire un festival de tribunes. Nous sommes le seul festival de cinéma dit « politique » en France qui n’invite pas de personnalités politiques. C’est avant tout et seulement un festival de Cinéma, qui réfléchit sur le monde, sur la politique, mais par le cinéma et pour les spectateurs. »
Et de préciser immédiatement, balayant nos craintes et soulignant notre étonnement face au niveau des films proposés :
« Il y a toujours eu une règle, qui a motivé notre envie : Cinéma politique ne doit jamais vouloir dire film fainéant. Pas de films d’interviews, où on pontifie sur un sujet ou l’autre, en enchainant les témoignages d’experts. Nous aimons le cinéma, et il nous a semblé évident dès le départ de proposer des films aux propos forts, certes, mais dont les enjeux de réalisation, les propositions filmiques étaient tout aussi forts. Lors de la première édition, nous cherchions à comprendre jusqu’à où nous pouvions aller en termes de propositions, jusqu’où le public pouvait suivre. C’est peu dire que les retours nous ont confortés, et nous ont donné la confiance d’aller plus loin encore dès cette année : les gens le sentent, et on s’est dit, c’est bon, on peut y aller ! »
Le public audois, nombreux (des séances ont dû être ajoutées, des salles étant combles), ne s’y est pas trompé : les 5000 spectateurs de la première édition ont laissé place à plus de 9000 d’entre eux, entre début de fidélité et nouveaux arrivants.
Retour sur ces quelques jours glanés au cœur de l’hiver, avant un retour sur un palmarès d’une justesse impressionnante.
- « Zero impunity » de Stéphanie Hueber et Nicolas Blies.
Début brutal avec le difficile « Zero Impunity » de Stéphane Hueber et Nicolas Blies, documentaire coup de poing affrontant un problème majeur mais peu évoqué du temps de la guerre, à savoir l’utilisation du viol comme arme, qu’il s’agisse de détruire l’ennemi en violant ses femmes et ses enfants (comme en Syrie, en ex-Yougoslavie), de dommages collatéraux liés à une suspension du droit, ou de prostitution proche de l’abus de pouvoir (le scandale des forces ONU en Afrique).
Syrie, Ukraine, USA, Afrique : de chapitres en chapitres, d’histoires en Histoire, le film égrène comme autant de coups de poings sa démonstration implacable et étouffante, notant aussi bien les violences que les silences systémiques qui les autorisent.
Evitant le voyeurisme et le didactisme, le film, projet transmedia (appuyé entre autre par Youpress ou Mediapart et supporté par un livre et un site web, zeroimpunity.com) organise « a priori » sa démonstration implacable à travers ses moyens filmiques : aux experts, journalistes et analysants des projections nocturnes de courtes interventions, comme pour mieux confronter au travers de phrases percurantes le silence au regard des passants, et aux témoignages la pudeur de séquences animées, contant avec la pudeur du dessin l’horreur de Nora, 11 ans, séquestrée puis violée en Syrie (après administration de piqures d’hormones pour la rendre « femme »), ou l’histoire effrayante d’une jeune ukrainienne enfermée par un militaire pendant plusieurs jours, qui la force à se baigner devant lui, ou la viole avec une balle de fusil.
« A priori », car très vite, le projet brouille sa propre mécanique, accueillant au sein des animations des experts (les sachants se mélangeant aux victimes), créant des séquences de pure fiction (la réunion avec Condolezza Rice), se perdant dans d’inutiles afféteries.
Comme ivre de lui-même et de ses propres idées (les projections, subtiles puis lourdement appuyées), du plus naïf (le jeu des 3 singes -rien entendu, rien vu, rien dit- par des anonymes, joli, mais appuyé allant jusqu’à mettre en scène à la fin une projection dans le désert pour le plaisir du beau), au complètement neu-neu (la grande séquence de projection sur les institutions francaises, accompagné d’une musique décalée façon « Cash investigation »), il titube sous sa volonté de démontrer à tout prix, quitte à bégayer.
Qui trop embrasse formellement mal étreint : ni tout à fait film de témoignages, ni tout à fait film débat d’experts, le film navigue entre deux eaux troubles, organisant ses confrontations dans des séquences dynamiques mais trop courtes, versant progressivement dans le militantisme facile (la séquence finale à l’ONU), saucissonnant la parole, répétant, encore et encore, jusqu’à finalement perdre l’attention et la tension du spectateur.
Restera le fond, implacable, étouffant, douloureux. Un long chemin de croix contre le silence, finalement lui-même parfois trop silencieux, tant on aurait voulu saisir plus, mais qui peut a minima résonner comme un cri d’alarme, un plaidoyer nécessaire mais boiteux.
- « Midnight Traveler » de Hassan Fazili
Deuxième journée et coup au cœur pour ce documentaire qui cochait à première vue toutes les cases du documentaire bien-pensant à même d’émouvoir la ménagère de gauche : soit le périple d’un réalisateur afghan et de sa famille, forcés de fuir le pays après que sa tête fut mise à prix par les talibans (il a osé faire un café artistique et fait un film de fiction sur un taliban qui choisit la paix, le fou). Le tout filmé par trois téléphones portables.
Sauf que… sauf que le film déjoue immédiatement l’ensemble des horizons d’attentes en se concentrant de manière forcenée sur la documentation intime de cette famille et de l’ensemble des moments de suspension, d’ennui, d’inquiétude, de fragilité, de rire, de repos.
Afghanistan, Turquie, Bulgarie, Serbie : dans cette fuite en avant (n’ayant obtenu l’asile nulle part, ils ont dû faire appel à des passeurs et donc à l’illégalité) vers le dépouillement (ils démarrent dans un appartement, puis une voiture pleine, puis à peine quelques sacs), l’attente, toujours, partout, dans ce drôle de journal au quotidien ou presque.
C’est de longs plans dans la voiture sur la route, un passage halluciné de frontière à la queue-le-leu à travers champs au lever du soleil, un soleil qui se couche sur une cachette de fortune, ce sont les filles qui dorment en crabe sur un matelas de fortune, des fruits que l’on vole dans le jardin d’un côté, le ballon qu’on s’envoie pour tromper l’ennui. La première neige, aussi, en Serbie, ou une veste chaude que l’on va acheter dans un magasin à bas prix, le balai qu’on passe dans un centre d’hébergement, etc.
Témoigner, bien sûr, mais pas seulement.
Car le film, « horriblement » banal dans son propos (pas de rebondissements dramatiques, pas de mort subite) est bien plus que cela. En utilisant un régime d’images planétaires (le telephone portable, son image heurtée et ses pixels) s’ouvre une forme de béance : par ce geste si quotidien pour tous, par la banalité de séquences anodines (un enfant qui grandit et se fâche, une femme qui apprend à faire du vélo), dans ce hiatus entre l’insupportable épreuve traversée et la banalité du dispositif, il crée dans leur odyssée de lointains echos brisés de nos propres quotidiens.
Leur drame fragile devient déchirant. Dans leur geste de filmer, nos selfies. Dans leur dépouillement, nos foyers. Leurs engueulades, nos couples. Dans leurs images de familles, nos enfants qui grandissent.
Des images, partout. Documenter, à tout prix. Comment montrer pour que nous ne fassions qu’un ? Jusqu’où filmer, pour survivre ? Jusqu’où montrer, pour ne pas aller vers l’extinction et pour qu’on se souvienne ?
Dans une séquence hallucinée, entièrement noire, où l’une des filles disparait, Hassan va même jusqu’à interroger sa pulsion scopique, sa nécessité comme sa vanité morbide, son risque par l’obsession à vouloir ne rien lâcher, à faire presque « œuvre » alors qu’il joue la vie des siens, en contant en voix-off son désir presque fou que sa fille soit morte : « quelle séquence cela ferait pour le film », avoue-t-il avec honte.
Cette horreur n’aura pas lieu. Elle restera hors du cadre, comme beaucoup.
On pourra alors lui reprocher, comme certains l’ont fait, de ne pas documenter suffisamment l’horreur de l’émigration, la violence du déracinement. Il le fait, pourtant, à travers de rares séquences de larmes des filles, qui hurlent « je n’aime plus cet endroit », ou de l’agression anti-migrants.
Mais à ce malheur tu, à ces brèves explosions de désespoir (alors que tout, dans leur parcours, est celui d’un désespoir), « Midnight traverler » préfère le rire des petites et le sourire obstiné de la femme du réalisateur, qui à chaque séquence ou presque rit de leur infortune et qui dit sans doute bien plus que des larmes continues.
Il lui préfère la première bataille de neige, il lui préfère les premiers pollens qui volètent, le lien de sa famille, les jeux malgré la descente aux enfers. La haine, comme lors de la séquence de manifestation en Bulgarie, est là, mais au bord, repoussée hors-champ. Dans le pire comme dans le meilleur, qu’importe les punaises de lit, les nuits dans des bâtiments abandonnés, la peur au ventre lors des frontières, l’ennui absolu des camps, les vols. « Ca arrive, mais nous sommes là, ensemble », semble-t-il dire.
C’est ce tourbillon qui frappe au cœur et aux larmes : avec une simplicité confondante, bouleversante, c’est un film sur la famille, un film sur ce que c’est que grandir, malgré tout, un film sur le droit de chacun à disposer de son propre cœur et de son destin. Hassan Fazili organise une traversée du royaume des ombres, l’amour aux lèvres et dans l’objectif. Chevillé à l’intime, il dit tout ce qu’aucun expert ne pourra jamais dire. Leur histoire est la nôtre, humains, malgré tout, par ces trois pixels heurtés à bras. Leur vie éclatée et notre confort. Leurs morceaux de rushes, nos souvenirs
C’est l’histoire d’un film qui refuse de plier. L’histoire d’un film d’amour et de pudeur, effronté, obstiné et droit comme cette petite fille qui se déhanche en riant, mot-à-mot et pas à pas, sur du Michael Jackson : « all I wanna say is that they don’t really care about us ».
Un très grand film.
- « Rafael », de Ben Sombogaart.
Déception toutefois (ou à cause de ?) pour le second film du jour, Rafael, qui conte par le biais de la fiction une situation quasi similaire : l’histoire d’amour difficile entre une jeune hollandaise, Kimmy (Melody Klaver, impeccable et touchante) et un jeune tunisien, Nazir (Nabil Mallat, plutôt juste dans son obstination) qui ont le chic pour se marier juste avant la Révolution du Printemps arabe. Pas de bol pour les tourtereaux, la jeune fille, enceinte pour couronner le tout, peut donc partir, le jeune homme, non, malgré ses papiers. Décidé à retrouver sa douce, Nazir entreprend le passage clandestin avec son ami Rafael, de passeurs douteux en embarcations de fortunes.
Si le premier passage à Lampedusa se solde par un échec, avec retour au pays, le second, bien plus dramatique, le lancera depuis son camp de rétention dans une course contre l’absurdité des procédures européennes (puisque le droit européen donne raison au couple, encore-faut-il le faire appliquer), épaulé par Kimmy bien décidée à alerter les médias et autorités.
Drôle de proposition que ce film, qui choisit de manière assez fine de traiter la question migratoire sur le ton du mélodrame, renouvelant le sirop amer d’un Douglas Sirk à l’heure des camps de transits.
Mais si le cœur du sujet aussi bien que les acteurs touchent au plus juste le film, incapable de se poser, saute de scène en scène sans se laisser le temps de creuser son programme (l’absurdité des lois n’y est qu’effleurée), s’évertuant à dérouler les étapes convenues du genre en explicitant à outrance chacun des enjeux (« QUEL CHOIX AVONS-NOUS ? ») pour s’effondrer dans un final oscillant du grandiloquent baroque (personnellement, nous sommes plutôt preneurs, tant le reste semblait étouffé par sa volonté de réel) au ridicule, le tout appuyé par d’insupportables gimmicks sonores (un boum retentissant façon les experts à chaque changement de plan, une musique insupportable se déclenchant -TOUJOURS LA MEME- à chaque fois que Nazir et Kimmy se retrouvent) et séquences larmoyantes (les flashbacks sur la plage ensoleillée, les séparations successives) ou über-descriptives (tout l’axe avec la mère, pas trop contente d’avoir un arabe dans sa vie white power, mais bon quand même ca va finir par le faire).
Sujet d’actualité, traitement social, tire-larme, caméra à l’épaule « au plus près du vrai » et film « A MESSAGE » et « QUI FAIT REFLECHIR » : concept difficile à décrire, Rafael coche pourtant toute les cases des « films de festival », coquilles engagées et bizarrement peu incarnées hors de leurs sujets et archétypes, écrasant leurs personnages forts dans un scénario programmatique sans surprise possible.
Dommage, l’enjeu était beau (partir d’un moment historique de société pour tisser un mélodrame intime plutôt qu’un plaidoyer), les acteurs au plus juste, le dispositif filmique tout trouvé (l’enfermement et la liberté, la course et le surplace, etc). En voulant à tout prix faire acte de documentaire et de « cri d’alerte »(« d’après une histoire vraie »), en enchainant les scènes « utiles », il s’étiole sans jamais réellement parvenir à exister.
- « Cuban Network » d’Olivier Assayas
De non-existence et de blancheur il est question aussi dans le dernier film d’Olivier Assayas, Cuban Network, qui raconte (« d’après une histoire vraie » bis repetitia) un improbable réseau d’espionnage dans les années 90 à Miami, composé de cubains ayant fui le pays du cigare pour rejoindre celui du burger. Dans quel but ? Comment ?
L’un des enjeux du film étant bien entendu le trouble entretenu par le classique « dans quel camp sont-ils », on se gardera bien d’avancer plus loin dans le résumé de cette production 5 étoiles, réunissant, excusez du peu, Pénélope Cruz, Edgar Ramirez, Wagner Moura, Ana de Armas et Gael Garcia Bernal (entre autres, et tous avec un accent cubain magnifiquement exagéré) dans une action à peu près aussi alanguie que les terres gorgées de soleil qui l’accueille.
Si on est d’abord charmé par la relative blancheur de sa première partie, enchainant dialogues volontairement creux et rythme lancinant d’une action complètement trouble (longues séquences à table, scènes étirées et calmes alors qu’on nous vend un film d’espionnage rocambolesque), très vite, comme se réveillant d’un doux rêve ouaté, Assayas abandonne son rythme faussement cool pour rattacher comme il le peut les wagons d’une narration qui n’en finit plus de renaitre et mourir, tout au long de ces plus de 2 heures qui en paraissent 4.
C’est alors le grand festival d’absurdités scénaristiques et de sauts temporels (dont un désormais célèbre flash-backs « 4 ans avant », qui a fait rire l’ensemble de la salle), de références cinématographiques écrasantes lorgnant aussi bien du côté de Coppola (la scène du mariage notamment, la Mafia) que de Scorcese puis rendant brutalement hommage au film d’exploitation (les split screen musicaux avec, oh, tiens, une voix off qui apparait l’air de rien puis disparaitra à jamais, j’avais oublié de vous expliquer un truc et je sais pas trop comment le faire), le tout avec un sentiment extrêmement désagréable de détachement assez menfoutiste.
Saupoudrant son action de quelques belles séquences (la relation de Ramirez avec Penelope Cruz, la séquence de l’attaque des hotels) puis s’amusant d’un personnage avant de l’abandonner en pleine action (le couple Moura/Ana de Armas, qui occupe à lui seul un tiers du film puis disparait après qu’enfin la jeune apparait nue, comme si le cinéaste s’était rassasié d’eux deux et de la filmer), tissant à foison des histoires de réseaux internationaux pour finir sur un drame intime, semblant découvrir un enjeu en plein milieu de son récit ou un personnage oublié sortant du chapeau, Cuban network est le naufrage d’une improbable inconséquence qui donne la sensation d’un sur-régime dans un film pourtant d’une lenteur implacable.
Focus, Olivier ! Ni fresque de rédemption, ni film intime. Ni comédie, ni drame. Ni cynique, ni premier degré. Ni rythmé, ni lent. Cuban Network synthétise à lui seul la doctrine dominante du « En même temps ». Le film d’un chien fou sous tranxène qui souffrirait de problème de concentration et de mémoire.
Il y avait pourtant, au sein de ses plus beaux moments, quelque chose de subtil et langoureux, dans sa fausse action, quelque chose de beau dans l’intimité de ce couple retrouvé, quelque chose d’intriguant, dans ce sentiment de ne pas savoir où aller dans ce film volontairement antédiluvien et lorgnant plutôt du côté du Hollywood classique et des prémices du Nouvel Hollywood que des agités de la modernité. Il y avait tout cela, mais la perte n’est douce que s’il y a un chef d’orchestre prêt à guider la partition et nous prendre la main le moment venu.
Peut-être est-ce cela, le Assayas nouveau, qui semble se confirmer depuis quelques années : un drôle de faiseur, talentueux mais inconséquent, enchainant les films de commande comme autant de cachets (que l’on ne s’y trompe pas, le film est visuellement beau et proprement réalisé, « regardable » diraient les plus vulgaires), surfant tranquillement sur sa notoriété arty à l’international pour étaler par échos lointains sa cinéphilie, s’amusant d’une scène puis s’ennuyant la suivante, complètement amnésique puis rattachant sa narration dans un instant de lucidité.
Pour le réalisateur comme pour ses spectateurs, il n’est décidément rien de pire qu’un roi sans divertissement, et, par une pirouette du réel qui nous apprenait au lendemain de sa projection la mort d’Anna Karina, on l’entend encore siffloter par ici « Qu’est-ce que je peux faire ? J’sais pas quoi faire ? »
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