Nouvelle salve Mocky chez ESC avec quatre gros morceaux ironiques et anarchistes dans lesquels on retrouve toute la verve jubilatoire du réalisateur évoluant au fil des années.
Les dragueurs (1959) avec Jacques Charrier, Charles Aznavour, Anouk Aimée
Freddy s’est lassé de ses trop nombreux succès auprès des femmes. Il espère maintenant trouver l’amour de toute une vie. En attendant, il ne rencontre que Joseph, un timide introverti, qui lui avoue ne pas savoir parler aux femmes. Freddy s’engage à le faire profiter de son expérience. Les voici en maraude dans le gai Paris…
Les vierges (1963), avec Gérard Blain, Jean Poiret, Charles Aznavour
L’histoire du premier amour de cinq adolescentes, de tempérament, d’éducation et de milieu social différents :
– Marie-Claude, effrontée et amorale, courtisée par deux » dragueurs « , François et Rémy, se donnera à un inconnu rencontré dans une fête foraine…
– Geneviève, la fille du banquier Marchaix, droite et réservée, épouse Robert. Lors de sa nuit de noces, la maladresse de son mari lui révélera la réalité physique de l’amour, lui laissant un sentiment de dégoût…
– Christine, sans scrupules, fiancée à Xavier – un noble stupide, employé de Marchaix – fera croire à celui-ci qu’elle s’est sacrifiée pour sa carrière en se donnant au banquier, alors qu’elle a passé une nuit d’amour avec le peintre qu’elle aime…
– Sophie, étourdie, aime et est aimée de Mickey, un jeune plombier. Tous deux cherchent, en vain, l’endroit où ils pourraient se livrer aux jeux de l’amour…
– Nora, tendre et passionnée, est amoureuse de Berthet, le directeur du laboratoire où elle est employée, un quadragénaire qui l’aime à la folie. Mais celui-ci veut la respecter jusqu’au mariage, après son divorce. Croyant que sa virginité est l’obstacle qui les sépare, elle se donnera au premier venu. L’apprenant, Berthet se détournera d’elle…
L’ibis Rouge (1975) avec Michel Simon, Michel Serrault, Michel Galabru, Jean Le Poulain, Evelyne Buyle
Raymond Villiers ne se doute pas que l’homme qui lui fait face dans l’ascenseur n’est autre que l’étrangleur qui défraie la chronique. Mais Raymond ne s’attarde pas, il abandonne ce personnage et se met en quête des trois millions qu’il a perdu au jeu et qu’il doit rembourser au plus tôt. Dès lors, une succession de quiproquos et de méprises vient bouleverser l’ordre naturel des événements.
Le piège à cons (1979) avec Jean-Pierre Mocky, Catherine Leprince
Michel Rayan a été radié de l’Education nationale après les événements de mai 68. Après un exil volontaire de dix ans en Asie, il revient en France. Dès son débarquement au Havre il se met à la recherche de Serge Lanier, l’un de ses anciens élèves, avec lequel il est resté en contact durant ces années. Il sait que Serge est l’un de ceux qui, refusant de rentrer dans le rang, sont prêts à tout pour lutter contre la corruption du système. Mais avant que les deux hommes ne se retrouvent, Serge est abattu, victime d’une bavure policière. Francine Vaneau, son amie, décide de le venger. Elle entraîne Michel dans son combat…
En partenariat avec ESC distribution, nous sommes très heureux de vous faire gagner un exemplaire d’un de ces films si vous répondez à ce questionnaire avant le 20 mars 2019 minuit.
(Crédit photos : Copyright Mocky Delicious Products)
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