Ex-championne de tennis, Jaimie Sommers est l’ancienne petite amie de Steve Austin, L’Homme qui valait trois milliards. Au cours d’un saut en parachute, elle se blesse grièvement. À la demande de Steve, Jaimie se voit greffer un bras, deux jambes et une oreille bionique. Exerçant en parallèle le métier d’institutrice, elle est recrutée par l’OSI en tant qu’agent secret agissant sous l’œil aiguisé d’Oscar Goldman. À son réveil, elle ne se souvient de rien, et notamment de sa relation avec Steve avec qui elle devait se marier.
Dérivé de L’Homme qui valait 3 milliards le temps de 58 épisodes en 1976 et 1978, Super Jaimie possède le charme désuet des séries de l’époque avec ses personnages attachants et ses intrigues simplistes mais efficaces. L’origine de la série est assez cocasse : L’Homme qui valait 3 milliards (6 millions dans la VO, cela dit) chute dans les sondages dès la moitié de la deuxième saison. Steve Austin n’a plus le vent en poupe. Que faire ? Lui créer une idylle histoire de se mettre dans la poche les mamans des enfants dingues de la série. Donc Steve retrouve son amour de jeunesse, Jaime Sommers, ex-championne de tennis, et ainsi va la vie, il retombe amoureux. Mais un terrible accident la laisse entre la vie et la mort. Terrassé par le chagrin, Steve insiste pour la rendre bionique, mais l’opération échoue. La tenniswoman meurt sous les yeux remplis de larmes lors d’un épisode qui va exploser l’audimat. Conséquence : Jaimie revient après avoir été cryogénisée dans un double épisode qui cartonne à nouveau. Le spin-off est ensuite lancé, devançant souvent en qualité son modèle masculin pour des raisons simples. Lindsay Wagner est une bien meilleure actrice que le sympathique Lee Majors qui sera plus convaincant en Colt Seaver, mais ceci est une autre histoire.
En partenariat avec Elephant, Culturopoing vous offre la possibilité de gagner deux coffrets Blu-Ray de la série intégrale de Super Jaimie si vous répondez aux questions ci-dessous !
© Tous droits réservés. Culturopoing.com est un site intégralement bénévole (Association de loi 1901) et respecte les droits d’auteur, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos visibles sur le site ne sont là qu’à titre illustratif, non dans un but d’exploitation commerciale et ne sont pas la propriété de Culturopoing. Néanmoins, si une photographie avait malgré tout échappé à notre contrôle, elle sera de fait enlevée immédiatement. Nous comptons sur la bienveillance et vigilance de chaque lecteur – anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe.
Merci de contacter Bruno Piszczorowicz (lebornu@hotmail.com) ou Olivier Rossignot (culturopoingcinema@gmail.com).