À Londres, Patricia et Alex, deux étudiants américains, découvrent un homme gisant dans un escalier de la station de métro Russel Square, alors qu’ils rentraient chez eux. Mais le corps s’est volatilisé pendant qu’ils rapportent leur macabre découverte à la police. L’inspecteur Calhoun relie la disparition à plusieurs autres survenues dans la même station. Cette fois, la victime est James Manfred, un haut fonctionnaire. Que se passe-t-il dans ce métro ? l’inspecteur Calhoun mène l’enquête. Il va être confronté à une horrible vérité.
Production britannique mais réalisée par un américain donc il s‘agit du premier long métrage, Le métro de la mort marque une rupture avec l’horreur gothique initiée par la Hammer. Tourné en décor naturel sur un scénario cafardeux annonçant la modernité d’un Massacre à la tronçonneuse ou La colline a des yeux, le film de Gary Sherman impressionne par la rigueur quasi documentaire de la mise en scène, la qualité de la photo et la justesse des décors ainsi que l’exceptionnelle interprétation d’un Donald Pleasence au sommet de sa forme. Construit comme une enquête aussi classique que minutieuse, Le métro de la mort avec son discours social en filigrane est un peu l’ancêtre d’un autre remarquable film « d’égouts » ou de sous-sol, le très sous-estimé CHUD.
Les éditions Rimini sortent cette pépite dans un beau combo Blu-Ray / DVD dont voici les suppléments :
- un livret rédigé par Marc Toullec (24 pages)
- « Profondeurs » : discussion entre David Ladd et Paul Maslanksy (13′, VOST)
- « Fermeture des portes ! » : interview de Hugh Armstrong (16′, VOST)
- « Les Contes du métro » : interview de Gary Sherman et des producteurs exécutifs Jay Kanter et Alan Ladd, Jr. (19′, VOST)
- Bande-annonce
- Spots TV
En partenariat avec les éditions Rimini, nous vous proposons d’en gagner 3 exemplaires, si vous répondez aux questions suivantes avant le 12 novembre à 23 h 59 h 59s
© Tous droits réservés. Culturopoing.com est un site intégralement bénévole (Association de loi 1901) et respecte les droits d’auteur, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos visibles sur le site ne sont là qu’à titre illustratif, non dans un but d’exploitation commerciale et ne sont pas la propriété de Culturopoing. Néanmoins, si une photographie avait malgré tout échappé à notre contrôle, elle sera de fait enlevée immédiatement. Nous comptons sur la bienveillance et vigilance de chaque lecteur – anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe.
Merci de contacter Bruno Piszczorowicz (lebornu@hotmail.com) ou Olivier Rossignot (culturopoingcinema@gmail.com).